21 mars 2011
Une vie réduite à soi n'est pas une vie.
Elle est une amputation de la vie. Et elle ne conduit qu'aux gouffres de la solitude et du sentiment de l'échec.
En ne s'occupant que de soi, en cédant à la règle de ce temps qui veut qu'on agisse d'abord pour soi, nous nous imaginons œuvrer en notre faveur.
Nous croyons entasser nos biens. Mais nous les jetons dans un gouffre.
C'est l'homme qui s'ouvre aux autres qui enrichit sa vie.
Car la richesse d'une vie est faite d'enthousiasme et de joie.
Et ils ne viennent que du dépassement de soi. Celui qui ne cherche qu'à posséder pour soi vit dans un désert : il s'enterre sous les biens.
Celui qui va vers les autres, qui vit avec les autres, marche dans l'oasis.
martin gray
Elle est une amputation de la vie. Et elle ne conduit qu'aux gouffres de la solitude et du sentiment de l'échec.
En ne s'occupant que de soi, en cédant à la règle de ce temps qui veut qu'on agisse d'abord pour soi, nous nous imaginons œuvrer en notre faveur.
Nous croyons entasser nos biens. Mais nous les jetons dans un gouffre.
C'est l'homme qui s'ouvre aux autres qui enrichit sa vie.
Car la richesse d'une vie est faite d'enthousiasme et de joie.
Et ils ne viennent que du dépassement de soi. Celui qui ne cherche qu'à posséder pour soi vit dans un désert : il s'enterre sous les biens.
Celui qui va vers les autres, qui vit avec les autres, marche dans l'oasis.
martin gray